Le hasard fait extrêmement bien les choses, quand Murphy veut bien le laisser tranquille... Je vous parlais hier du coquillage avec lequel j'ai l'habitude de jouer pour les cérémonies, et aujourd'hui, j'ai reçu une copie d'un magazine dont je fais la couverture en en jouant !

C'est pour de vrai, même si "magazine" est peut-être un bien grand mot. En fait, c'est le livret de résumé de la conférence 2009 organisée par Philantropy New Zealand, pour laquelle on a fait un powhiri (cérémonie de bienvenue).



Pour ceux intéressés par le contenu, voici le >> lien complet << (c'est un pdf). Ils avaient John Key (le Premier Ministre) et plein de gratin à leur conférence, et tout et tout.

Mais revenons à nos moutons.

Vous aurez sans doute remarqué que ce coquillage n'a pas d'embouchure en bois. Et c'est un des mystères qu'il me reste encore à percer : Pourquoi certains coquillages se jouent avec une embouchure, et d'autres non. Une seule chose est sûre, avec une embouchure, on peut faire beaucoup plus de bruits rigolos et de sons différents. Sans embouchure, c'est juste une sorte de clairon, dont on fait varier la note en bouchant plus ou moins l'ouverture du coquillage avec la main.

Et en cadeau bonux qui n'a strictement rien à voir : ceux qui cliqueront sur la photo pourront aussi voir mes photos les plus récentes prises dans différents endroits de Wellington City. Et en cadeau bonux encore en plus en plus, je me suis amusée à faire des photos du chemin qu'on prend pour aller de chez nous au centre ville...

See you space cowboys...